jeudi 6 novembre 2014

Nécrophilia



Nécrophilie. Satisfaction des pulsions sexuelles sur un cadavre. (Elle peut être associée au sadisme et conduit alors au crime sexuel.)- Dictionnaire Larousse

Chose désarticulée, à l’odeur poisseuse et crade des fonds d’égouts, tachée de sang visqueux lui sortant de plaies qu’elle s’était infligée. Elle avait la bouche ouverte, comme pour crier, mais si l’on se penchait pour regarder d’un peu plus près, on apercevait un morceau de tissus sortant tout juste du fond de sa gorge. Elle avait dû être étranglée pour avoir un tel air d’étonnement sur le visage.
Empoignant le bout de tissus, je tirai lentement dessus, libérant sa gorge contractée. Un bruit de gargouillement se fit entendre alors qu’un jet de bile noire giclait en ma direction. Je tâchai de l’éviter, tout en gardant un œil sur cette adversaire farouche. Une fois que ce fut terminé, je détachai sa chemise pour découvrir un bustier noir et aguicheur. La coquine, c’était presque comme si elle s’était préparée en vue de notre rendez-vous.
Prenant un tuyau d’arrosage, je pesai sur la poignée et entrepris de nettoyer ce corps crasseux avec le but de redonner, si cela est possible, sa beauté et sa propreté à mon invitée surprise. Je pris un malin plaisir à envoyer de l’eau sur ses jambes jusque sous sa jupe, où je découvris l’absence de culotte. Je visai son entre-jambes du jet dur de l’eau froide, mais fut désappointé de remarquer que son corps restait sans vie sur ma table de métal.
Retirant un gant que j’avais préalablement enfilé, je ne pu résister à l’envie de glisser un doigt à l’intérieur de la jeune fille. Ce que je découvris me plut instantanément, encore humide du jet qu’elle avait reçu, l’intérieur de son corps, plutôt que de partager la raideur des morts, était moelleux et agréable. Je ne pu résister à l’envie de glisser un deuxième doigt, puis un troisième, faisant un mouvement rapide de va-et-vient. Si ce mouvement n’excitait pas ma victime endormie, elle me faisait en revanche un effet monstre.
Retirant tant bien que mal mon second gant, je détachai le bouton de mon pantalon et en sorti mon membre que je caressai, le regard lubrique toujours posé sur elle. Bientôt, mes caresses ne me suffirent plus, je voulais cette salope, qui s’offrait à moi, jambes écartées.
J’allai m’assurer que la porte de mon poste de travail était verrouillée, puis je me déshabillai, posai mes vêtements sur une chaise pour ensuite arracher ceux de mon envoûteuse, découvrant son corps parsemés de contusions. Je n’étais apparemment pas le seul dont elle avait éveillé les passions, et d’autres semblaient être passés avant moi.
Je la giflai violemment, punissant cette fausse vierge de ne pas avoir été son premier. Puis, pour me faire pardonner mon moment de brusquerie, je lui refermai la bouche que j’embrassai, allant même jusqu’à forcer ses lèvres pour aller jouer avec sa langue molle et inerte.
Maîtresse ingrate, elle restait immobile, ne me rendant mes caresses que par un regard vide qui aurait tôt fait d’éteindre ma  passion si je n’avais pu les lui refermer d’un mouvement. Malgré tout, mes baisers et mes caresses devinrent plus ardents. J’avais du mal à me contenir, je la voulais.
Aussi la pris-je, d’abord en position du missionnaire. Je me glissai sur elle en lui embrassant d’abord le bas ventre dont l’odeur putride semblait vouloir revenir. Puis glissai mes lèvres de son nombril à ses petits seins fermes dont je suçotai en premier le bout, puis, comme pour m’assurer que la morte ne feignait pas l’inconscience, les mordit avec une telle vigueur qu’une perle de sang s’en échappa, me rendant encore plus fou de désir.
Enfin vint le moment que j’attendais avec impatience, mais que cette agace semblait vouloir me refuser. Je la pénétrai avec vigueur, ne portant pas attention à la douleur que j’aurais pu lui causer si elle avait toujours vivante. Je la pistonnai comme un enragé, distribuant au passage des baisers sur son visage, ses oreilles et ses cheveux. Ma jouissance vint vite, cette garce était douée. Je dus me retirer rapidement, mon sperme s’étalant sur son ventre.
Évidemment, une morte ne peut s’essuyer seule, il faut tout faire pour elle. Cette petite ne faisant pas exception, j’actionnai la poignée du tuyau d’arrosage et envoyai la pression vers le ventre duveteux de ma charmante compagne. Je m’essuyai ensuite avec un mouchoir, puis m’en débarrassai dans une poubelle.
Je crus durant un court moment que mes envies sexuelles s’étaient évaporées, jusqu’au moment où je jetai un regard à son visage. Elle semblait sourire, heureuse d’avoir été pénétrée de cette manière. C’est qu’elle le voulait, mon instinct ne m’avait pas trompé!
Ce sourire, sorte de défi à mon encontre, me donna envie de recommencer. Cette petite devrait souffrir avant que ne s’efface de son joli visage son air de supériorité. Aussitôt me vint une idée, si elle aimait avoir mon pénis entre les jambes, peut-être aurait-elle une réaction de dégoût à l’avoir ailleurs!
Tirant sur ses bras, puis ses jambes, je la retournai de façon à voir son fessier. Je sus cependant que ce ne serait pas chose aussi aisée qu’en missionnaire, aussi pris-je des tie wrap et entrepris de lui attacher les poignets à la table. Je pris un petit banc qui trainait dans un coin et lui soulevai les hanches pour lui poser le ventre dessus. Les fesses en l’air, les mains attachées, ma victime était parfaite.
J’avais cependant vu trop de films pornographiques et embaumé trop de gens pour ne pas savoir que ce petit trou n’était pas des plus propres. Je remis un gant, puis enduis son anus de vaseline avant de glisser le tuyau d’arrosage à l’intérieur de celui-ci. L’eau bienfaitrice nettoya rapidement l’objet de mon désir et quand je retirai le tuyau, ce qui avait été brun était rose et fin prêt à m’accueillir.
J’y glissai mon membre dans son anus dilaté, la ruai de coups de bassin, lui claquant les fesses de temps à autre. Mon âme sœur silencieuse subit avec délice les supplices que je lui infligeai, et pas un son ne sorti de sa gorge, si ce n’est que quelques borborygme remontant de ses intestins. Cette fois, plutôt que de me retirer, je déversai ma semence dans cette poupée de chair. Puis m’écroulant sur elle et haletant, je me laissai peser de tout mon poids, lui écrasant les seins, les fesses et le visage.
Je me retirai, me nettoyai, me rhabillai et lui détachai les poignets. Je rangeai la pièce, reposai ma morte sur le dos, plaçant ses cheveux autour de son visage et l’embrassai.
Cette catin m’ayant apporté bien des plaisirs, je décidai de lui laisser le petit cadeau que j’avais introduit en elle, en souvenir de nos moments intenses et passionnés. Je nettoyai cependant le reste de son corps, le maquillai afin qu’on ne vit plus ses blessures, puis la rhabillai. Prête pour ses funérailles, je la soulevai et la plaçai dans son cercueil, que je refermai après avoir, avec bien de plaisir et de regret, tâté son sein.

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