Nécrophilie.
Satisfaction des pulsions sexuelles sur un cadavre. (Elle peut être associée au
sadisme et conduit alors au crime sexuel.)- Dictionnaire Larousse
Chose
désarticulée, à l’odeur poisseuse et crade des fonds d’égouts, tachée de sang
visqueux lui sortant de plaies qu’elle s’était infligée. Elle avait la bouche
ouverte, comme pour crier, mais si l’on se penchait pour regarder d’un peu plus
près, on apercevait un morceau de tissus sortant tout juste du fond de sa
gorge. Elle avait dû être étranglée pour avoir un tel air d’étonnement sur le
visage.
Empoignant
le bout de tissus, je tirai lentement dessus, libérant sa gorge contractée. Un
bruit de gargouillement se fit entendre alors qu’un jet de bile noire giclait
en ma direction. Je tâchai de l’éviter, tout en gardant un œil sur cette
adversaire farouche. Une fois que ce fut terminé, je détachai sa chemise pour
découvrir un bustier noir et aguicheur. La coquine, c’était presque comme si
elle s’était préparée en vue de notre rendez-vous.
Prenant
un tuyau d’arrosage, je pesai sur la poignée et entrepris de nettoyer ce corps
crasseux avec le but de redonner, si cela est possible, sa beauté et sa propreté à mon invitée surprise. Je pris un malin plaisir à envoyer de l’eau
sur ses jambes jusque sous sa jupe, où je découvris l’absence de culotte. Je
visai son entre-jambes du jet dur de l’eau froide, mais fut désappointé de
remarquer que son corps restait sans vie sur ma table de métal.
Retirant
un gant que j’avais préalablement enfilé, je ne pu résister à l’envie de
glisser un doigt à l’intérieur de la jeune fille. Ce que je découvris me plut
instantanément, encore humide du jet qu’elle avait reçu, l’intérieur de son
corps, plutôt que de partager la raideur des morts, était moelleux et agréable.
Je ne pu résister à l’envie de glisser un deuxième doigt, puis un troisième,
faisant un mouvement rapide de va-et-vient. Si ce mouvement n’excitait pas ma
victime endormie, elle me faisait en revanche un effet monstre.
Retirant
tant bien que mal mon second gant, je détachai le bouton de mon pantalon et en
sorti mon membre que je caressai, le regard lubrique toujours posé sur elle.
Bientôt, mes caresses ne me suffirent plus, je voulais cette salope, qui
s’offrait à moi, jambes écartées.
J’allai
m’assurer que la porte de mon poste de travail était verrouillée, puis je me
déshabillai, posai mes vêtements sur une chaise pour ensuite arracher ceux de mon
envoûteuse, découvrant son corps parsemés de contusions. Je n’étais apparemment
pas le seul dont elle avait éveillé les passions, et d’autres semblaient être
passés avant moi.
Je
la giflai violemment, punissant cette fausse vierge de ne pas avoir été son
premier. Puis, pour me faire pardonner mon moment de brusquerie, je lui
refermai la bouche que j’embrassai, allant même jusqu’à forcer ses lèvres pour
aller jouer avec sa langue molle et inerte.
Maîtresse
ingrate, elle restait immobile, ne me rendant mes caresses que par un regard
vide qui aurait tôt fait d’éteindre ma
passion si je n’avais pu les lui refermer d’un mouvement. Malgré tout,
mes baisers et mes caresses devinrent plus ardents. J’avais du mal à me
contenir, je la voulais.
Aussi
la pris-je, d’abord en position du missionnaire. Je me glissai sur elle en lui
embrassant d’abord le bas ventre dont l’odeur putride semblait vouloir revenir.
Puis glissai mes lèvres de son nombril à ses petits seins fermes dont je
suçotai en premier le bout, puis, comme pour m’assurer que la morte ne feignait
pas l’inconscience, les mordit avec une telle vigueur qu’une perle de sang s’en
échappa, me rendant encore plus fou de désir.
Enfin
vint le moment que j’attendais avec impatience, mais que cette agace semblait
vouloir me refuser. Je la pénétrai avec vigueur, ne portant pas attention à la
douleur que j’aurais pu lui causer si elle avait toujours vivante. Je la
pistonnai comme un enragé, distribuant au passage des baisers sur son visage,
ses oreilles et ses cheveux. Ma jouissance vint vite, cette garce était douée.
Je dus me retirer rapidement, mon sperme s’étalant sur son ventre.
Évidemment,
une morte ne peut s’essuyer seule, il faut tout faire pour elle. Cette petite
ne faisant pas exception, j’actionnai la poignée du tuyau d’arrosage et envoyai
la pression vers le ventre duveteux de ma charmante compagne. Je m’essuyai
ensuite avec un mouchoir, puis m’en débarrassai dans une poubelle.
Je
crus durant un court moment que mes envies sexuelles s’étaient évaporées,
jusqu’au moment où je jetai un regard à son visage. Elle semblait sourire,
heureuse d’avoir été pénétrée de cette manière. C’est qu’elle le voulait, mon
instinct ne m’avait pas trompé!
Ce
sourire, sorte de défi à mon encontre, me donna envie de recommencer. Cette
petite devrait souffrir avant que ne s’efface de son joli visage son air de
supériorité. Aussitôt me vint une idée, si elle aimait avoir mon pénis entre
les jambes, peut-être aurait-elle une réaction de dégoût à l’avoir ailleurs!
Tirant
sur ses bras, puis ses jambes, je la retournai de façon à voir son fessier. Je
sus cependant que ce ne serait pas chose aussi aisée qu’en missionnaire, aussi
pris-je des tie wrap et entrepris de
lui attacher les poignets à la table. Je pris un petit banc qui trainait dans
un coin et lui soulevai les hanches pour lui poser le ventre dessus. Les fesses
en l’air, les mains attachées, ma victime était parfaite.
J’avais
cependant vu trop de films pornographiques et embaumé trop de gens pour ne pas
savoir que ce petit trou n’était pas des plus propres. Je remis un gant, puis
enduis son anus de vaseline avant de
glisser le tuyau d’arrosage à l’intérieur de celui-ci. L’eau bienfaitrice
nettoya rapidement l’objet de mon désir et quand je retirai le tuyau, ce qui
avait été brun était rose et fin prêt à m’accueillir.
J’y
glissai mon membre dans son anus dilaté, la ruai de coups de bassin, lui
claquant les fesses de temps à autre. Mon âme sœur silencieuse subit avec
délice les supplices que je lui infligeai, et pas un son ne sorti de sa gorge,
si ce n’est que quelques borborygme remontant de ses intestins. Cette fois,
plutôt que de me retirer, je déversai ma semence dans cette poupée de chair.
Puis m’écroulant sur elle et haletant, je me laissai peser de tout mon poids,
lui écrasant les seins, les fesses et le visage.
Je
me retirai, me nettoyai, me rhabillai et lui détachai les poignets. Je rangeai
la pièce, reposai ma morte sur le dos, plaçant ses cheveux autour de son visage
et l’embrassai.
Cette
catin m’ayant apporté bien des plaisirs, je décidai de lui laisser le petit
cadeau que j’avais introduit en elle, en souvenir de nos moments intenses et
passionnés. Je nettoyai cependant le reste de son corps, le maquillai afin
qu’on ne vit plus ses blessures, puis la rhabillai. Prête pour ses funérailles,
je la soulevai et la plaçai dans son cercueil, que je refermai après avoir,
avec bien de plaisir et de regret, tâté son sein.
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